A Kiev, Emmanuel Macro a fini sa visite sur une rencontre avec les gendarmes français de l'IRCGN déployés depuis avril à Boutcha pour enquêter sur les crimes de guerre commis par les Russes (photo L. Marin, AFP).
Un peu plus tôt, il avait rappelé que "la France a très rapidement envoyé sur les lieux de ces massacres une équipe de spécialistes pour contribuer à la collecte de preuves et permettre à la justice de suivre son cours". Voir mon post à ce sujet.
Il a aussi "annoncé au Président ZELENSKY, la fourniture prochaine d’un laboratoire mobile d’analyse ADN qui apportera une aide importante dans ce difficile travail : lutter contre toute forme d’impunité. D’autres pays européens se mobilisent désormais pour assurer la poursuite de ce travail indispensable et nous soutenons les efforts de la Cour pénale internationale pour faire la lumière sur les atrocités impardonnables commises en Ukraine."
L'équipe de l'IRCGN déployée dans les banlieues de Boutcha et Irpin dispose déjà d'un tel laboratoire.
Actuellement, onze gendarmes de l'IRCGN sont à l'oeuvre près de Kiev.